LES OUBLIES DE JUAREZ****
Tout d'abord j'estime qu'une nouvelle fois STUDIO-MAGAZINE a dépassées les limites. Il faut boycotter cette revue. Les critiques sont mauvaises et malsaines. Beaucoup de journalistes critiquent des films sans que leurs critères ne soient valables. Et semblent se foutre de la gueule du MEXIQUE(cf LES OUBLIES DE JUAREZ), ou de l'AFRIQUE(cf BLOOD DIAMOND), et j'en passe. Bref ils n'aiment pas les films d'investigations réalistes, politiques, basés sur des histoires vrais. Or s'il y a bien des films qui doivent être moins critiqués que les autres, ce sont bien ceux-là(surtout lorsqu'ils sont très bons).
LES OUBLIES DE JUAREZ est un très beau film. Malgré quelques détails techniques pas emballants(les flashs-backs, les images de Martin SHEEN dans l'imprimerie de son journal, ou parfois des images poussiéreuses et mal éclairées).
LES OUBLIES DE JUAREZ parle de viols et d'assassinats de femmes ouvrières*, qui sont embauchées dans des usines mexicaines, qui apparemment travailleraient pour des grandes marques internationales, et principalement américaines. Un pamphlet contre un côté caché de la mondialisation et du libre-échange. Un film courageux, et le complément indispensable à FAST FOOD NATION, autre très bon film sur les relations mexico-américaines.
Si Antonio BANDERAS a vraiment un second rôle(celui d'un journaliste mexicain). Jennifer LOPEZ porte avec engagement, et passion ce film sur ses épaules(elle a d'ailleurs été récompensée par AMNESTY INTERNATIONAL, récemment).
Par contre, le film reste ambigu, trop vague et même peut-être trompeur, lors notamment d'une scène,où l'on voit une adolescente qui vient d'être violée, être amoureuse d'un célèbre chanteur mexicain, qui pourrait avoir des relations étroites avec ses violeurs. Ce qui en dit long sur les relations du SHOW-BIZZ(cf notamment le film LA MOME, où l'on voit Edith PIAF être entourée de malfrats). Malheureusement, beaucoup semblent aveugles, sous-prétexte que se sont des stars, et continuent à les idôlatrer, pour se rattacher à quelquechose ou à quelqu'un, en ignorant tout de leurs vies privées. Personnellement, je préfère me rattacher, me consacrer et m'identifier à ma propre oeuvre, plutôt que d'idôlatrer quelqu'un, ou quelquechose, qui pourraît être un robot, un anonyme qui met le masque d'une star qui n'existe pas, ou même être un clône virtuel, voire un extra-terrestre qui ne montre pas son vrai visage, ou quelqu'un qui cache sa véritable apparence, ses véritables handicapes ou maladies.
LES OUBLIES DE JUAREZ est un très beau film. Malgré quelques détails techniques pas emballants(les flashs-backs, les images de Martin SHEEN dans l'imprimerie de son journal, ou parfois des images poussiéreuses et mal éclairées).
LES OUBLIES DE JUAREZ parle de viols et d'assassinats de femmes ouvrières*, qui sont embauchées dans des usines mexicaines, qui apparemment travailleraient pour des grandes marques internationales, et principalement américaines. Un pamphlet contre un côté caché de la mondialisation et du libre-échange. Un film courageux, et le complément indispensable à FAST FOOD NATION, autre très bon film sur les relations mexico-américaines.
Si Antonio BANDERAS a vraiment un second rôle(celui d'un journaliste mexicain). Jennifer LOPEZ porte avec engagement, et passion ce film sur ses épaules(elle a d'ailleurs été récompensée par AMNESTY INTERNATIONAL, récemment).
Par contre, le film reste ambigu, trop vague et même peut-être trompeur, lors notamment d'une scène,où l'on voit une adolescente qui vient d'être violée, être amoureuse d'un célèbre chanteur mexicain, qui pourrait avoir des relations étroites avec ses violeurs. Ce qui en dit long sur les relations du SHOW-BIZZ(cf notamment le film LA MOME, où l'on voit Edith PIAF être entourée de malfrats). Malheureusement, beaucoup semblent aveugles, sous-prétexte que se sont des stars, et continuent à les idôlatrer, pour se rattacher à quelquechose ou à quelqu'un, en ignorant tout de leurs vies privées. Personnellement, je préfère me rattacher, me consacrer et m'identifier à ma propre oeuvre, plutôt que d'idôlatrer quelqu'un, ou quelquechose, qui pourraît être un robot, un anonyme qui met le masque d'une star qui n'existe pas, ou même être un clône virtuel, voire un extra-terrestre qui ne montre pas son vrai visage, ou quelqu'un qui cache sa véritable apparence, ses véritables handicapes ou maladies.
*Pour précisions, si 400 est le chiffre officiel de la police mexicaine. Le vrai chiffre semble être plus proche de 5 ou 6000.
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