LE NOUVEAU GOUVERNEMENT
Le gouvernement Fillon: de gauche à droite et de haut en bas: Francois Fillon, Alain Juppé, Jean-Louis Borloo, Brice Hortefeux, Xavier Bertrand, Michèle Alliot-Marie, Roselyne Bachelot, Christine Boutin, Valérie Pécresse, Bernard Kouchner, Christine Lagarde, Rachida Dati, Hervé Morin, Christine Albanel, Xavier Darcos et Eric Woerth.
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Mon commentaire :
Si le vice premier-ministre souhaité par Nicolas HULOT prend l'apparence d'un ministre d'état, ministre de l'Ecologie, du développement et de l'aménagement durables. Tout ce qui se rattache à cette fonction semble pourtant ne pas être la priorité des français. Le rôle d'Alain JUPPE sera donc certainement de nous responsabiliser encore un peu plus. De nouvelles contraintes sont donc à prévoir. Pour avoir mis ce ministère en premier. Celà prouve certainement que l'heure est grave. Il y va certainement de notre survie. Mais la FRANCE ne pourra rien faire de bien concret, si elle se bat toute seule. Pour l'environnement, il aurait tout de même fallu harmoniser les politiques européennes et mondiales.
S'il est parfois nécessaire de différencier le mot travail de celui de l'emploi. J'ai tout de même du mal à comprendre les raisons qui poussent Nicolas SARKOZY à différencier le ministère du travail et celui de l'emploi. Jean-Louis BORLOO s'occupera de son budget. Mais nous savons tous, qu'en réalité le ministre de l'économie n'a que très peu de poids. Il ne fait que suivre les directives du premier-ministre et du président de la république, et au meilleur des cas donne des conseils. S'il n'est pas trop choquant de mettre le ministère de la fonction publique avec celui du budget et des comptes publics. Il est un peu bizarre de le séparer de celui des finances et de l'économie. Au pire des cas, il aurait fallu au moins les mettre à la suite dans les listes, pour qu'on y comprenne quelquechose.
De même à mon humble avis, il aurait été préférable de créer un ministère des sciences, des nouvelles technologies et de la recherche, plutôt que de mélanger la recherche avec l'enseignement supérieur(qui fait partie de l'EDUCATION NATIONALE).
Bref, il y en a qui risque d'avoir beaucoup de travail. Une possible excuse pour ne rien faire.
Quant au K. KOUCHNER, il me paraît normal, qu'il ait accepté de devenir Ministre des Affaires Etrangères compte tenu que le rôle et la paye du ministre lui manquait. Il est normal d'avoir un représentant de l'opposition, plus proche des pays de majorité différente pour mieux dialoguer avec les pays étrangers et le pays à problème. D'ailleurs si l'on remarque bien, la gauche et la droite françaises sont la plupart du temps d'accord sur les décisions internationales à prendre. Bernard KOUCHNER représentera la FRANCE, mais n'en sera pas son porte parole. Le ministre des Affaires Etrangères n'est que le numéro 3, derrière le président de la république, et le premier-ministre. Globalement, il ne sert pas à grand chose(en tout cas son poste semble surévalué). La seule utilité est donc cette opportunité de pouvoir mieux dialoguer avec des représentants qui auraient été gênés par la droite. Malheureusement, il n'est pas sûr que la gauche accepte d'être représentée par Bernard KOUCHNER. Son exclusion du parti socialiste le confirmant. Espérons tout de même que LA FRANCE avance dans le bon sens. Bernard KOUCHNER va d'autre part certainement pouvoir lancer son service civil humanitaire dans les pays étrangers. Ce qui par contre ne me plaît pas spécialement. Il y a des cas désespérés, qui poussent bons nombres d'humanitaires et de jeunes à se suicider. Je ne pense pas que celà soit une bonne idée. Mais il faut rappeler que c'est bien l'un des premiers qui l'a proposé.
Espérons tout de même, qu'il n'empoisonne pas les membres de son ministère et d'autres en les obligeant à boire de l'eau du robinet. Ce qui serait une manière éfficace de réduire les éffectifs de la FONCTION-PUBLIQUE.
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CONSEIL DES MINISTRES
Un conseil des ministres chargé
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