LA CRUAUTE ET L'UTILITE DES REVES

Jeudi 17 mai 2007, au matin. J'ai vécu une simulation virtuelle(ce que les autres appellent rêve)dans laquelle j'étais nommé ministre, "à la surprise générale". Entre guillemets, car sincèrement, je ne sais pas trop ce que l'on pense réellement de moi, et ce qui se dit à droite et à gauche. J'ai souvent l'impression que le but de la majorité des gens, est de faire semblant(sans blanc, comme l'équipe de FRANCE de football, un signe)de ne pas savoir(un tas de choses cachées connues mais non reconnues, qui sont en partie abordées dans mon site). Si le fait de devenir ministre, ne serait pour moi, pas spécialement une énorme surprise, ni éffrayant, bien au contraire. J'ai tout de même suffisamment de lucidité et d'intelligence, pour penser qu'il est tout de même préférable de préparer le terrain. Ce qui jusqu'à présent n'a pas été fait. Au contraire l'on essaye plutôt depuis ma naissance de me faire courir contre des coureurs qui sont partis avant que le départ ait été donné. Du jour au lendemain, celà ne me gênerait bien entendu aucunement de le devenir, à partir du moment que je suis libre de faire aboutir mes idées et projets.Mais le problème n'est pas là.
En réalité plus j'observe Nicolas SARKOZY(particulièrement celui que les médias nous montre), plus j'ai l'impression d'y voir derrière son apparence une sorte de robot(technologiquement avancé)et des entités différentes qui se cachent et se relient dans son enveloppe corporelle, selon certains moments, et certains droits de passages.
Le personnage Nicolas SARKOZY pourraît très bien ne pas être maître de son cerveau, ni de ses actes. Ce qui serait un réel problème. Le véritable Nicolas SARKOZY(s'il existe, ou s'il est encore en vie)peut-il être hypnotisé ou possédé ?A son insu? Par force ? Complicité ? En réalité tout est possible.
Nicolas SARKOZY pourraît donc très bien ne pas être maître de son cerveau, ni de sa conscience et de son inconscient. Ce qui serait un réel problème pour gouverner LA FRANCE(le genre de problème qu'ont d'ailleurs certainement eu ses prédecesseurs). Le genre de problème que doivent rencontrer une multitude de personnes hypnotisées et lobotomisées, et commandées partiellement ou totalement. Comme on pourraît l'être dans nos rêves et cauchemars.
Je me suis donc réveillé ce matin-là avec le souvenir d'avoir été nommé ministre. Le plus "cruel"de l'affaire, c'est que j'y ai cru(pendant que je dormais). Le réveil fût donc brutal, et terriblement décevant. Cependant j'ai pour avantage, suffisamment d'expériences et de lucidités pour savoir qu'il est bien-sûr préférable de vivre dans un monde réel(lorsqu'on contrôle(un peu mieux en tout cas)notre cerveau)que de vivre endormi et paralysé dans un monde virtuel, où des gens malsains pourraient faire de vous à peu près tout ce qu'ils veulent(Même si dans ce monde vous êtes ministre).Surtout si on les laisse faire. Malheureusement, je sais aussi, qu'il est certainement possible de rester dans ces simulations virtuelles toute sa vie(si on ne l'a pas souhaité) et jusqu'à une certaine limite qui ne dépend certainement pas de nous, mais de ceux qui contrôlent et programment les machines(ou les extra-terrestres) supposées nous faire "rêver". Reste à savoir si ceux qui nous gouvernent sont totalement maîtres de leurs cerveaux et de leurs décisions. ET s'ils ne sont pas eux-aussi contrôlés par des machines ou des extra-terrestres.
Reste à savoir, si les ambitions d'une certaine catégorie de personnes(trop gourmandes, selon certaines puissances et intelligences)ne pourraient pas être uniquement vécues virtuellement, pour "mieux les satisfaire", ou les punir de leurs ambitions, et pour en fin de compte mieux les neutraliser, tout en continunant à se servir d'elles.
Il n'est donc pas surprenant de voir autant de personnes lunatiques, désagréables et énervées. Après qu'elles aient cru que ces simulations virtuelles étaient leurs réalités et leurs vies.
Il s'agit donc de combattre intélligemment ce fléau, de la meilleure façon qu'il soit. Ce qui ne se fait pas actuellement. Puisque l'on n'ose pas et veut pas traiter le problème, ni m'écouter, pour on ne sait quelle raison.
Grave et inquiétant.