TRES BIEN MERCI*
Alex,un expert-comptable blasé et dégoûté de ce qu'on lui fait faire, va petit à petit être déstabilisé et perdre ses repères. Cette folie passagère va le pousser à se mettre à dos des policiers pas très sympathiques(et qui de toute évidence abusent de leur statut), à la suite d'un contrôle d'identité, que ce dernier observe avec provocation.
Malgré un sujet ambitieux, et prometteur(d'après certains échos), ce film n'est pas aussi dénonciateur que prévu. Il est même très peu efficace. Car il faut bien comprendre que ce personnage incarné par Gilbert Melki est tout de même proche de la folie. Pour moins que ça, de nombreux saints d'esprits se sont fait internés plus longtemps ou définitivement(sans pouvoir s'en remettre ou sans pouvoir sortir), et ont été beaucoup plus mal traités que lui.
Pour moins que ça, de nombreux saints d'esprits ont été poussés au suicide ou à la folie(par notamment des traitements expérimentateurs et casseurs). Pour ces cas, le seul moyen de guérir, c'est de ne plus prendre de traitements(ou en tout cas de ne plus prendre ceux qui les rendent malades).
Emmanuelle Cuau, réalisatrice de ce film(qui a mystèrieusement disparue des écrans depuis Circuit Carole, tourné en 1995) a choisi de victimiser un comptable(qui ne supporte pas de faire un travail plus honnête), qui fûme dans le métro, et qui n'est pas content de se prendre une amende(pour moins que ça, certains ont été poussés sur les rails,...non, je rigole). En réalité, quoi de plus normal que de s'en prendre une...amende bien-sûr.
Ensuite on le voit s'arrêter bizarrement pour regarder un contrôle d'identité.
Tellement bizarrement, qu'il apparaît presque logique de le faire interner. Seulement, ça, c'est l'étape d'après. Avant, il y a la prison pendant une nuit(pour casser les soi-disant fauteurs de troubles, ou certaines gênes).L'on n'ose pas imaginer, ce qui se passe dans ces endroits, et ce que font certains policiers. J'en ai malgré tout une petite idée.
Cet homme a de la chance, d'être remis en liberté le lendemain. Mais ignorant et naif, comme il est, il va vouloir se plaindre dans le commissariat, qui vient de l'incarcérer. Seul contre tous, pour revendiquer ses droits. La réalité, c'est que si l'on se plaint de la police au palais de justice, le parquet envoie la plainte au commissariat touché par la plainte(attention les yeux , pour la faire valider).Il ne faut pas se mélanger les pinceaux.
A force d'insister, Alex va finir par discréditer sa cause, qui est malgré tout légitime(malgré son comportement très bizarre), car il a été mal traité. A ce moment, son combat paraît être perdu, et même ridicule. Il va donc se faire interner dans un hôpital psychiatrique.
Malheureusement, Emmanuelle CUAU oublie(volontairement ?)(par censures, pressions ou autres raisons)d'aborder le sujet qui fâche, et qui est le plus symbolique dans ces internements d'office demandés par la police. Elle oublie de parler de la fameuse annexe de la préfecture de police basée à ST ANNE(ou de ses petits frères et soeurs), chargée de faire des examens psychiatriques pour statuer sur le sort des détenus. Ce lieu(menacé de fermeture) est un espace de non-droit, où les abus les plus fous se passent(l'inimaginable). Tout est permis, quand il s'agit de pousser au suicide quelqu'un ou de le faire passer pour un fou.
Des animaux de la préfecture(des phoques apparentés aux reptiles)n'hésitent pas à injecter des piqûres qui cassent et droguent les internés pendant plusieurs jours(histoire de faire croire, qu'ils ne sont pas bien). Le traitement est tellement fort, qu'ils n'ont plus envie d'uriner. Donc plus la nécessité de taper contre la vitre pour se faire entendre. Ces animaux mériteraient d'être exécutés. Je n'ose imaginer, le nombre de victimes, et ce qu'ils ont réussi à faire croire.
Cet expert-comptable va bien-sûr perdre son poste à la suite de cet internement catalogué dans ceux demandés par des tiers(parceque ces animaux ont fait signé à sa femme un papier le demandant, à son insu ? Certes(dans ce film), mais il y en a tout de même qui font bel et bien internés leurs maris, et d'autres(des tiers et des victimes)qui sont obligés de signer par peurs d'éventuelles complications et représailles).
Bien-sûr, ces signatures obtenues par la force ou dûperies doivent être sévèrement sanctionnées. Bref, les malfrats doivent subir les pires châtiments.
Alex, une fois libre, et plongé cette fois-çi dans le désespoir, va se mettre à boire. Et avoir un accident qui reste bien flou. Non seulement, on ne le voit pas. Mais en plus, il semblerait qu'il aît pû vouloir se suicider. Ce qui revient à penser que les médicaments aient pû le pousser à cette folie. Certains le font, une spécialité de la maison. Seulement voilà, Emmanuelle CUAU montre un personnage en train de boire. Donc l'on oublie les médicaments.
D'autre part, elle semble également confondre psychiatrie et asile. Cet expert-comptable déboussolé côtoie apparement de vrais fous. Or, il faut rappeler qu'il y a plusieurs niveaux d'hospitalisations. Et il est peu probable, que ces hôpitaux mélangent toutes sortes de malades. Même s'ils pourraient le faire, pour punir certaines personnes.
Enfin, grâce à l'aide d'un ancien collègue(lui aussi licencié), Alex va finalement décider de faire des faux papiers et faux diplômes sur internet pour pouvoir décrocher un job, et même avoir un meilleur poste que le précédent. Ce qui laisse supposer que de nombreux imposteurs dirigent notre pays et des entreprises. Ce qui est cette fois-çi sûrement vrai.
Malgré un sujet ambitieux, et prometteur(d'après certains échos), ce film n'est pas aussi dénonciateur que prévu. Il est même très peu efficace. Car il faut bien comprendre que ce personnage incarné par Gilbert Melki est tout de même proche de la folie. Pour moins que ça, de nombreux saints d'esprits se sont fait internés plus longtemps ou définitivement(sans pouvoir s'en remettre ou sans pouvoir sortir), et ont été beaucoup plus mal traités que lui.
Pour moins que ça, de nombreux saints d'esprits ont été poussés au suicide ou à la folie(par notamment des traitements expérimentateurs et casseurs). Pour ces cas, le seul moyen de guérir, c'est de ne plus prendre de traitements(ou en tout cas de ne plus prendre ceux qui les rendent malades).
Emmanuelle Cuau, réalisatrice de ce film(qui a mystèrieusement disparue des écrans depuis Circuit Carole, tourné en 1995) a choisi de victimiser un comptable(qui ne supporte pas de faire un travail plus honnête), qui fûme dans le métro, et qui n'est pas content de se prendre une amende(pour moins que ça, certains ont été poussés sur les rails,...non, je rigole). En réalité, quoi de plus normal que de s'en prendre une...amende bien-sûr.
Ensuite on le voit s'arrêter bizarrement pour regarder un contrôle d'identité.
Tellement bizarrement, qu'il apparaît presque logique de le faire interner. Seulement, ça, c'est l'étape d'après. Avant, il y a la prison pendant une nuit(pour casser les soi-disant fauteurs de troubles, ou certaines gênes).L'on n'ose pas imaginer, ce qui se passe dans ces endroits, et ce que font certains policiers. J'en ai malgré tout une petite idée.
Cet homme a de la chance, d'être remis en liberté le lendemain. Mais ignorant et naif, comme il est, il va vouloir se plaindre dans le commissariat, qui vient de l'incarcérer. Seul contre tous, pour revendiquer ses droits. La réalité, c'est que si l'on se plaint de la police au palais de justice, le parquet envoie la plainte au commissariat touché par la plainte(attention les yeux , pour la faire valider).Il ne faut pas se mélanger les pinceaux.
A force d'insister, Alex va finir par discréditer sa cause, qui est malgré tout légitime(malgré son comportement très bizarre), car il a été mal traité. A ce moment, son combat paraît être perdu, et même ridicule. Il va donc se faire interner dans un hôpital psychiatrique.
Malheureusement, Emmanuelle CUAU oublie(volontairement ?)(par censures, pressions ou autres raisons)d'aborder le sujet qui fâche, et qui est le plus symbolique dans ces internements d'office demandés par la police. Elle oublie de parler de la fameuse annexe de la préfecture de police basée à ST ANNE(ou de ses petits frères et soeurs), chargée de faire des examens psychiatriques pour statuer sur le sort des détenus. Ce lieu(menacé de fermeture) est un espace de non-droit, où les abus les plus fous se passent(l'inimaginable). Tout est permis, quand il s'agit de pousser au suicide quelqu'un ou de le faire passer pour un fou.
Des animaux de la préfecture(des phoques apparentés aux reptiles)n'hésitent pas à injecter des piqûres qui cassent et droguent les internés pendant plusieurs jours(histoire de faire croire, qu'ils ne sont pas bien). Le traitement est tellement fort, qu'ils n'ont plus envie d'uriner. Donc plus la nécessité de taper contre la vitre pour se faire entendre. Ces animaux mériteraient d'être exécutés. Je n'ose imaginer, le nombre de victimes, et ce qu'ils ont réussi à faire croire.
Cet expert-comptable va bien-sûr perdre son poste à la suite de cet internement catalogué dans ceux demandés par des tiers(parceque ces animaux ont fait signé à sa femme un papier le demandant, à son insu ? Certes(dans ce film), mais il y en a tout de même qui font bel et bien internés leurs maris, et d'autres(des tiers et des victimes)qui sont obligés de signer par peurs d'éventuelles complications et représailles).
Bien-sûr, ces signatures obtenues par la force ou dûperies doivent être sévèrement sanctionnées. Bref, les malfrats doivent subir les pires châtiments.
Alex, une fois libre, et plongé cette fois-çi dans le désespoir, va se mettre à boire. Et avoir un accident qui reste bien flou. Non seulement, on ne le voit pas. Mais en plus, il semblerait qu'il aît pû vouloir se suicider. Ce qui revient à penser que les médicaments aient pû le pousser à cette folie. Certains le font, une spécialité de la maison. Seulement voilà, Emmanuelle CUAU montre un personnage en train de boire. Donc l'on oublie les médicaments.
D'autre part, elle semble également confondre psychiatrie et asile. Cet expert-comptable déboussolé côtoie apparement de vrais fous. Or, il faut rappeler qu'il y a plusieurs niveaux d'hospitalisations. Et il est peu probable, que ces hôpitaux mélangent toutes sortes de malades. Même s'ils pourraient le faire, pour punir certaines personnes.
Enfin, grâce à l'aide d'un ancien collègue(lui aussi licencié), Alex va finalement décider de faire des faux papiers et faux diplômes sur internet pour pouvoir décrocher un job, et même avoir un meilleur poste que le précédent. Ce qui laisse supposer que de nombreux imposteurs dirigent notre pays et des entreprises. Ce qui est cette fois-çi sûrement vrai.
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