A LA RECHERCHE DU BONHEUR ***
Chronique sociale émouvante, mais qui aurait presque mérité d'être réactualisée. Celà dit, il s'agit tout de même d'une adaptation d'une autobiographie. Cette histoire qui se passe dans les années REEGAN, est donc à priori vraie, ce qui la rend plus extraordinaire encore.
A LA RECHERCHE DU BONHEUR relate la vie de Chris GARDNER, un millionnaire, qui a fait fortune. Après avoir été SDF.
Ce film a pour définition de faire rêver les plus pauvres, qui peuvent(espérons-le ! ) arriver à percer, et à se frayer un chemin pour devenir riche. D'après ce film, s'ils en ont la volonté, et s'ils sont intelligents(tout de même).
Chris GARDNER, d'un milieu assez modeste, va perdre tout ce qu'il possède, petit à petit. Excepté son fils(non sans mal), qu'il arrive à arracher à sa mère(malgré une meilleure situation), et à garder(malgré sa grande précarité).
D'un premier abord, l'on pourraît penser à une version black de KRAMER CONTRE KRAMER. Il y a effectivement beaucoup de similitudes.Mais cette fois-çi, le père cotoie l'extrême pauvreté avant de remonter la pente. Et surtout la mère est bizarrement écartée de l'histoire. Elle décide de partir au moment où elle s'aperçoit que son mari ne peut plus subvenir aux besoins de sa famille. Mais si dans un premier temps, elle part avec son enfant. Elle acceptera en fin de compte de le laisser à son mari(simplement parceque celui-çi le désire), sans l'attaquer en justice, pour le récupérer. Ce qui est tout de même un peu bizarre. Il apparaît donc évident, que Gabriele Muccino, le réalisateur de ce film a préféré se démarquer du film de Robert BENTON, de cette façon. Malheureusement, cette histoire est amputée de quelquechose d'essentiel, et de logique. Ce qui le discrédite, tout de même un petit peu.
Si dans l'ensemble, il est assez intelligent. Il faut reconnaître également, qu'il comporte quelques côtés un peu trop optimiste(d'autant plus que nous ne vivons plus à la même époque). Il tend à nous faire comprendre, que c'est en démarchant et travaillant plus, qu'on arrive à faire l'impossible. Chris réussiera à vendre des scanners portables à force de persuasion et de volonté. Ce qu'il n'arrivait pas à faire lorsque sa femme était là. Et lorsqu'il n'avait pas spécialement besoin de le faire pour survivre.
Il y a des gens, qui ont beau travailler 100 heures par semaine, ou faire des réductions. Ils n'arrivent pas pour autant à vivre dignement ou même à survivre(surtout s'ils ne sont pas aidés).Les problèmes que recontrent les exclus et les personnes dans une extrême précarité sont inSOUPçonnables. il n'y a pas vraiment d'égalité des chances. Et leurs droits sont souvent bafoués, comme on n'ose même pas l'imaginer.
Chris, incarné par Will SMITH, réalise ce que beaucoup d'autres ne peuvent pas faire. Ce qu'il fait n'est pas à la portée de tout le monde. Si ce n'est pas l'élève le plus doué. Il réussit tout de même à se faire un chemin en parallèle pour devenir courtier.
Pré-sélectionner pour un stage, qui va déboucher sur une embauche. Chris va enfin trouver un emploi fixe, qui va lui permettre de vivre dignement et, plus tard de monter sa propre société de courtage.
L'on pourra remarquer que l'entreprise qui a engagé Chris. S'est autorisé à le tester, avec des tâches qui n'ont rien avoir avec son poste. Histoire de savoir, jusqu'où il pouvait aller.
Si dans un premier temps, l'on peut redouter qu'il devienne le larbin de service, voire un esclave(en raison de la couleur de sa peau). Sa réussite et son enrichissement personnel tend à nous prouver que des petites tâches, pas très agréables(voire ingrates) peuvent parfois nous servir pour se faire un chemin dans une entreprise, voire pour être embauché. Malheureusment, à toutes les échelles, il y en a qui créent des tâches inutiles(sans aucune raison valable). Uniquement pour se sentir supérieurs. C'est proprement inacceptable.
Faire par exemple, la vaisselle des employés ou cadres, n'est pas normale. Lorsqu'on sait, qu'il suffirait qu'ils lavent eux-mêmes leurs tasses. A défaut, augmenter le nombre d'éviers.
Il y a même des millionnaires ou milliardaires, qui empruntent de l'argent aux pauvres, pour savoir jusqu'où ils peuvent aller(ce que fait l'un des patrons de cette société de courtage). Sans par ailleurs, se sentir obligés de rembourser. Et sans qu'on arrive à en comprendre les raisons.
A LA RECHERCHE DU BONHEUR est tout de même une belle histoire motivante, qui mérite d'être découverte. Malgré des images trop rétros. On a vraiment l'impression que ce film a été tourné dans le passé.
A LA RECHERCHE DU BONHEUR relate la vie de Chris GARDNER, un millionnaire, qui a fait fortune. Après avoir été SDF.
Ce film a pour définition de faire rêver les plus pauvres, qui peuvent(espérons-le ! ) arriver à percer, et à se frayer un chemin pour devenir riche. D'après ce film, s'ils en ont la volonté, et s'ils sont intelligents(tout de même).
Chris GARDNER, d'un milieu assez modeste, va perdre tout ce qu'il possède, petit à petit. Excepté son fils(non sans mal), qu'il arrive à arracher à sa mère(malgré une meilleure situation), et à garder(malgré sa grande précarité).
D'un premier abord, l'on pourraît penser à une version black de KRAMER CONTRE KRAMER. Il y a effectivement beaucoup de similitudes.Mais cette fois-çi, le père cotoie l'extrême pauvreté avant de remonter la pente. Et surtout la mère est bizarrement écartée de l'histoire. Elle décide de partir au moment où elle s'aperçoit que son mari ne peut plus subvenir aux besoins de sa famille. Mais si dans un premier temps, elle part avec son enfant. Elle acceptera en fin de compte de le laisser à son mari(simplement parceque celui-çi le désire), sans l'attaquer en justice, pour le récupérer. Ce qui est tout de même un peu bizarre. Il apparaît donc évident, que Gabriele Muccino, le réalisateur de ce film a préféré se démarquer du film de Robert BENTON, de cette façon. Malheureusement, cette histoire est amputée de quelquechose d'essentiel, et de logique. Ce qui le discrédite, tout de même un petit peu.
Si dans l'ensemble, il est assez intelligent. Il faut reconnaître également, qu'il comporte quelques côtés un peu trop optimiste(d'autant plus que nous ne vivons plus à la même époque). Il tend à nous faire comprendre, que c'est en démarchant et travaillant plus, qu'on arrive à faire l'impossible. Chris réussiera à vendre des scanners portables à force de persuasion et de volonté. Ce qu'il n'arrivait pas à faire lorsque sa femme était là. Et lorsqu'il n'avait pas spécialement besoin de le faire pour survivre.
Il y a des gens, qui ont beau travailler 100 heures par semaine, ou faire des réductions. Ils n'arrivent pas pour autant à vivre dignement ou même à survivre(surtout s'ils ne sont pas aidés).Les problèmes que recontrent les exclus et les personnes dans une extrême précarité sont inSOUPçonnables. il n'y a pas vraiment d'égalité des chances. Et leurs droits sont souvent bafoués, comme on n'ose même pas l'imaginer.
Chris, incarné par Will SMITH, réalise ce que beaucoup d'autres ne peuvent pas faire. Ce qu'il fait n'est pas à la portée de tout le monde. Si ce n'est pas l'élève le plus doué. Il réussit tout de même à se faire un chemin en parallèle pour devenir courtier.
Pré-sélectionner pour un stage, qui va déboucher sur une embauche. Chris va enfin trouver un emploi fixe, qui va lui permettre de vivre dignement et, plus tard de monter sa propre société de courtage.
L'on pourra remarquer que l'entreprise qui a engagé Chris. S'est autorisé à le tester, avec des tâches qui n'ont rien avoir avec son poste. Histoire de savoir, jusqu'où il pouvait aller.
Si dans un premier temps, l'on peut redouter qu'il devienne le larbin de service, voire un esclave(en raison de la couleur de sa peau). Sa réussite et son enrichissement personnel tend à nous prouver que des petites tâches, pas très agréables(voire ingrates) peuvent parfois nous servir pour se faire un chemin dans une entreprise, voire pour être embauché. Malheureusment, à toutes les échelles, il y en a qui créent des tâches inutiles(sans aucune raison valable). Uniquement pour se sentir supérieurs. C'est proprement inacceptable.
Faire par exemple, la vaisselle des employés ou cadres, n'est pas normale. Lorsqu'on sait, qu'il suffirait qu'ils lavent eux-mêmes leurs tasses. A défaut, augmenter le nombre d'éviers.
Il y a même des millionnaires ou milliardaires, qui empruntent de l'argent aux pauvres, pour savoir jusqu'où ils peuvent aller(ce que fait l'un des patrons de cette société de courtage). Sans par ailleurs, se sentir obligés de rembourser. Et sans qu'on arrive à en comprendre les raisons.
A LA RECHERCHE DU BONHEUR est tout de même une belle histoire motivante, qui mérite d'être découverte. Malgré des images trop rétros. On a vraiment l'impression que ce film a été tourné dans le passé.
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