mercredi 31 janvier 2007

INFILTRES A LEUR INSU ?

POLICE
Les limites de l'"infiltration" de groupes criminels par les policiers
Jusqu'où les policiers peuvent-ils aller lorsqu'ils "infiltrent" des groupes criminels ? Telle est la question posée par deux avocats à la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH), dans le cadre d'une information judiciaire en cours à Thionville (Moselle), portant sur un trafic de stupéfiants.

Mon commentaire :
Des infiltrés dans la limite du raisonnable. Mais aussi des cobayes qui servent certains policiers.Les indics, tout le monde connaît.Les cobayes volontaires, ceux qui voyagent avec des puces, et des micros, à l'intérieur de leur sac ou de leur corps. Un peu moins. Il y en a sûrement.Mais il est clair, que la plupart de ces cobayes ne sont pas au courant. Et pas d'accord. Tout se passe donc à leur insu. Ou par force.Ils deviennent de véritables mouchards en puissance. Sans avoir rien accepter.Partout où ils vont. Ils renseignent, probablement sur une portée limitée.Des policiers peuvent très bien chargés leurs dossiers, ou inventés des histoires sur leurs comptes. Pour les empêcher de remonter la pente. Et surtout pour les voir s'enfoncer au contact de milieux plus pourris les uns que les autres, qui tentent de récupérer un maximum d'élements quand c'est possible.Il est même possible, que ces derniers aient implantés des électrodes miniturisés dans les yeux. Pour tout observer autour de ces exclus, qui ne sont pas payés au tarif des indics ou des infiltrés. Mais au meilleur des cas au RMI, ou par la manche ou de l'argent sâle sous la contrainte.

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