ANALYSE DU PROJET DE LOI SUR LA PREVENTION DE LA DELINQUANCE
Projet de loi
Prévention de la délinquance
Le Sénat poursuit, jeudi 14 septembre 2006, en séance publique, l'examen du projet de loi relatif à la prévention de la délinquance texte du projet de loi rapport de M. Jean-René Lecerf, fait au nom de la commission des lois avis de M. Nicolas About, fait au nom de la commission des affaires sociales amendements déposés sur ce texte comptes rendus du 13 et 14 septembre
Discours : de Pascal Clément : Projet de Loi Prévention de la délinquance au Sénat
Projet de loi relatif à la prévention de la délinquance
Dans le cadre de l'examen du projet de loi relatif à la prévention de la délinquance, Nicolas SARKOZY, Ministre d'Etat, Ministre de l'Intérieur et de l'Aménagement du Territoire a ouvert la séance publique au Sénat par une intervention, mercredi 13 septembre 2006.
Discours du ministre
MON COMMENTAIRE
Je suis la personne la plus honnête au monde. J'ai un casier vierge et je n'ai absolument rien à me reprocher. J'ai des dons que les autres personnes n'ont pas. Et n'ai pas de vices, que nombreuses autres ont.
Ce qui inévitablement gêne.
J'ai passé mon enfance à BRIE-COMTE-ROBERT.
En maternelle, je me suis fait agresser régulièrement par deux enfants. L'un ressemblait à CHIRAC. L'autre à un policier malhonnête du commissariat TRUFFAUT du 17 ème arrondissement de PARIS que j'ai revu, il y a quelques années.
En primaire, je me suis fait agresser par un groupe d'enfants plus vieux que moi, qui n'avait rien à faire dans l'école. Au moment où je parlais au fils du maire. Qui avait une tumeur au cerveau. Ils ont voulu me corriger, parcequ'il avait crié, "il m'embête , il m'embête". Le problème, c'est que
je lui avais demandé "Si ça allait". Dès la maternelle, il couraît tout nu dans la cour avec plein de boutons sur le corps. Aujourd'hui, je me demande pourquoi ?
Le fils du maire, ressemblait à MITTERAND.
Bien-sûr, dans ce monde à l'enfer, c'est bien moi, qui suis soupçonné de tous les vices.
Cette loi contre la délinquance doit représenter un progrès. Même si je doute de son efficacité. Il faut espérer qu'elle soit appliquée et améliorer.
L'analyse :
Article 1 :
"le maire « anime et coordonne » la politique de prévention de la délinquance>"
Imaginons par exemple, qu'on ait décidé de me cataloguer en délinquant dès ma naissance. Pour mieux pouvoir me léser. Compte tenu des rancoeurs qui existent entre certains clans rivaux, le maire, s'il est un rival chargera mon dossier.
Je ne suis donc pas surpris qu'une bande m'ait passer à tabac, pour défendre le fils du futur maire de BRIE-COMPTE-ROBERT en 1979, Monsieur AUBERT(brie contre aubert).
Triste spectacle pour un exemple symbolique, qui en dit long sur la régulation de la société "française".
L'article 7 permet au maire de saisir le juge des enfants afin que le professionnel coordonnateur soit désigné pour exercer la tutelle aux prestations sociales.
L'article 8 organise le rappel à l'ordre adressé au mineur, en présence de ses parents, lorsqu'il commet des faits susceptibles de porter atteinte au bon ordre, à la sûreté, à la sécurité ou la salubrité publics.
Mon commentaire :
Si un enfant commet un délit, il peut être placé dans une institution pour enfant, en fonction de l'importance de la faute. Il faut bien-sûr analyser et comprendre son comportement. S'il y a récidives, ou un mauvais comportement en général, il faut incarcérer l'enfant.
La mise sous tutelle des allocations n'a pas de sens.
Il y a certes des parents qui éduquent mal leurs enfants volontairement(ceux-là, il faut les sanctionner). Mais il y a aussi ceux qui n'arrivent pas à les raisonner. Sanctionner financièrement ces familles(qui ont besoin de ces allocations pour survivre), est complétement stupide.
Dans les deux cas, il faut rééduquer les enfants. Il faut donc un encadrement spécial. Mais comme je l'ai déjà dit, il ne faut pas charger les dossiers. Il faut donc avoir des preuves concrètes et honnêtes.
Malheureusement un tas de gens trafiquent et raconte n'importe quoi. Lorsqu'on peut avoir accès au destin d'une personne. On peut l'empêcher de réaliser des choses gênantes pour des élites.
LA PSYCHIATRIE
Comme la prévention de la délinquance passe par la protection des plus vulnérables, il faut que l'accompagnement des personnes atteintes de souffrances psychiatriques et présentant des risques pour leur propre sécurité ou celle d'autrui soit renforcé par un meilleur contrôle des sorties d'essai des établissements psychiatriques (article 18), ou par la modification de la durée du diagnostic psychiatrique (article 21) et, encore, par la faculté pour le préfet d'ordonner à tout moment qu'il estime opportun une expertise psychiatrique (article 23).
Mon commentaire :
Tant qu'un minimum de choses n'auront pas été rectifiées dans la psychiatrie(ils racontent globalement n'importe quoi). L'on ne pourra pas accepter les charlatans de la médecine.
Il y a dans la nature, des gens malades, c'est un fait. Mais il faut aussi trouver l'origine de leurs maladies, et au pire des cas, des explications convaincantes.
Il y a dans la nature des gens qui racontent et font n'importe quoi. Je ne pense pas que ce sont des êtres humains. Celà ressemble à de l'artificiel, qui raisonne avec une intelligence en décallage.
Il y a dans la nature des machines technologiques visibles ou invisibles qui conditionnent et influencent les êtres. Beaucoup peuvent être hypnotisés temporairement, une fraction seconde ou pour une durée indéterminée, pendant leur éveil ou sommeil. A ce niveau-là, rien de bien intelligent n'a été dit. Et surtout, il n'y a pas de protections suffisantes pour protéger les honnêtes gens.
Il y a le véhiculement de voix électroniques, qui déboussolent, énervent, conditionnnent ou hypnotisent les gens. Or personne ne parle de ce problème. Un signe !
Et il y a un tas de choses, que je n'ai pas encore découvertes.
Le délai d'expertise de 72 heures pour s'assurer de l'état mental du patient, n'est pas une bonne chose. Ces zones d'attente, sont des zones de non-droits. Pendant 72 heuers, le faux-malade peut être maltraité.
D'autre part, il me semble que Nicolas SARKOZY abuse de son statut, en voulant systématiquement interdire le port d'armes pour les gens qui ont été internés d'office. Internés d'office, veut dire par d'autres personnes. Et par les forces de l'ordre, le préfet, voire le maire. Seulement, nous savons tous, qu'il y a des gens, qui se font internés pour être cassés. Parcequ'ils représentent une menace pour les politiciens ou amis des réseaux mafieux. Ne plus pouvoir se protéger avec une arme, contre ces réseaux, n'est pas acceptable. A moins, que Nicolas SARKOZY admette enfin, qu'il soit possible d'intervenir pour protéger ces gens, avant qu'ils se fassent agrésser. A moins qu'il responsabilise officiellement les forces de l'ordre, voire lui-même. Je ne vois pas comment il fera pour me convaincre, et pour persuader le monde entier, qu'il n'essaye pas de prendre et de garder le pouvoir par la force, la triche, etc...
LES CRIMINELS ET LES RECIDIVISTES
Il faut que ces gens soient suivis à la trace électronique. Tout comportement anormal doit être signalé et contrôlé. Il faut des effets dissuasifs. Et non utiliser ces personnes comme des pions dans la nature. Il faut responsabiliser les forces de l'ordre. Et arrêter de faire des symboles ou des exemples.
LES DROGUES ET LA CIGARETTE
Toutes ces substances toxiques doivent être interdites.
LES DEVOIRS
Les jeunes doivent pouvoir aller travailler dans la bibliothèque de quartier, s'ils ne peuvent pas faire leurs devoirs chez eux. Des fermetures plus tardives sont donc plus souhaitables.
IL FAUT CHANGER LA JUSTICE, et FACILITER LE DEPOT DE PLAINTE.
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