mardi 14 novembre 2006

VOTRE DEVOIR EST DE VOUS TAIRE

Imaginez par exemple, que ceux qui nous gouvernent et qui aient pris le pouvoir, soient des robots. Le plan, dirigé par Alain ETCHEGOYEN semblait donc être chargé de régler le programme, avec leurs rapports et études que leur commandaient la plupart des ministères.

Alain ETCHEGOYEN a fait des rapports et a soumis des idées à Jean-Pierre RAFFARIN. Après avoir servi la gauche, et notamment Claude ALLEGRE et Segolène ROYAL(qu'il égratine).

Dominique DE VILLEPIN a estimé que LE PLAN, ne lui servait à rien. Il l'a donc supprimé.

Il a préféré bien-sûr, nommé ses propres enquêteurs et commissions, pour tenter de régler des problèmes. Certaines maladresses laissent à penser, que ces robots étaient mal réglés. Ils ont certes voulu penser par eux-mêmes, tout seuls comme des grands. Mais ils étaient de toute évidence pas encore prêts à être autonomes.

Celà dit, l'on comprend, Dominique DE VILLEPIN, qui a dû se méfier de personnes, qui auraient pû travailler pour ses ennemis. A sa place, j'aurais pû faire pareil. Même si je ne suis pas un robot.

Celà dit, il existe bien des gens avec une conscience professionnelle et une honnêteté irréprochable, qui ont le désir de faire avancer et progresser le pays, donc en faisant leur travail sérieusement. Alain ETCHEGOYEN et son équipe faisaient peut-être partie de ceux-là.

A l'arrivée, il se sent désormais plus libre de réfléchir et d'écrire. Son travail l'occupait, mais ne le rendait pas assez intelligent. Ce qui prouve d'une certaine façon, qu'il ne devait pas être assez efficace.

Ce genre de bureaux devraient exister continuellement, et être utilisés par ceux qui veulent faire des études précises, dans le but par exemple de soumettre un programme détaillé, en vue d'une candidature.

Il est trop facile de sortir, tout et n'importe quoi pendant les campagnes. Sans qu'il y ait d'engagements réels.

Le meilleur programme doit gagner. Et une loi doit obliger les élus à respecter ce qu'ils ont présenté au moment de l'élection.

Il est trop facile de changer de premier-ministre, ou d'équipe en cours de route, en leurs mettant tout sur le dos.

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