THE GOOD SHEPHERD*****
Site officiel :
http://www.thegoodshepherdmovie.com/
Bandes Annonces : Raisons D'état
Infos sur le film :
http://www.commeaucinema.com/film=45773.html
J'ai enfin pû voir ce film, après une longue attente. Plus de 5 ans ont été nécessaire pour que ce film sur les origines de la CIA, finisse par se faire.La sortie française(prévue pour le 04 juillet 2007)a sans cesse été repoussée. Ce qui prouve, qu'il y a quelquechose qui ne va pas en FRANCE. Le film injustement ignoré aux derniers oscars, est pourtant un véritable chef-d'oeuvre au même titre que LA VIE DES AUTRES(film sur la STASI, récemment sorti sur nos écrans). S'il est moins émouvant que ce dernier. Techniquement il est meilleur. Et il comporte de nombreuses scènes méthodiques, précises et originales(mais très vraies). Tout est bien expliqué, et tout semble parfait. Son seul "défaut" c'est d'être trop court(il ne fait que 2h40). La musique est somptueuse(je la fredonne encore dans ma tête), ainsi que nombreuses scènes. Comme notammant cette superbe scène, où Edward WILSON jette un regard à celle qu'il aime, au moment où son ami, lui apprend que sa soeur est enceinte de lui.
Edward WILSON fût en quelque sorte "l'âme" de la CIA. Son histoire montre, outre les terribles choix qu'il dût faire pour sauvegarder des secrets(ou en soutirer) et faire passer son travail avant sa vie de famille.Les incroyables rites de la confrérie SKULL and BONES, très proche des francs-maçons.
Robert DE NIRO a osé faire ce que l'on attendait. Même si il y manque certainement, des scènes qui décrivent plus de méthodes de tortures(voir entre autre, le livre de Gordon THOMAS, LES ARMES DE LA CIA, pour en apprende plus à ce sujet). Maintenant, l'on aimerait que l'on nous montre la partie la plus moderne de la CIA, celle qui utilise une technologie incroyable, et qui fait découvrir la vérité sur notre monde et notre existence. Car "lorsqu'on connaîtra la vérité, la vérité fera de nous, des hommes libres".
Chaque scène vaut le détour, et a été réalisée méticuleusement. Comme cette magnifique scène où Edward WILSON brûle un papier.
Du très grand art !
Interview de Robert DE NIRO :
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