NOUS AUSSI, L'ON PEUT SE SERVIR DES IMAGES...
AGRESSIONS
Agressions filmées : la mesure qui fâche
Des associations estiment que le texte permet de poursuivre un citoyen qui diffuserait la vidéo d'une bavure policière.
Mon commentaire :
En toute honnêteté, il est normal de soutenir une personne qui dénonce un crime. En le filmant, ou d'une autre manière. A partir du moment que le film est bien interprété et pas truqué.
Le fait de savoir que celui qui filme est un journaliste, un complice, le commanditaire(ou tout ça à la fois), un bloggeur, un citoyen qui veut dénoncer des crimes, ou un simple témoin, est secondaire.
Le principal, c'est de dénoncer le crime, et qu'il y ait justice.
Bien-sûr, l'on peut penser que des journalistes ou les médias peuvent très bien faire des coups montés et même créent eux-mêmes l'événement pour faire des scoops. Or ce texte, justement, estime qu'ils sont en quelque sorte les seuls à être autorisés à filmer. Ce qui laisse à penser que des groupes peuvent continuer à contrôler l'info(et l'a créée) de cette façon.
Je n'écarte pas l'hypothèse, qu'il y ait des journalistes qui se fassent censurer. Mais cette loi, semble tout de même prouver, qu'ils pourraient être d'une certaine façon complices du système et des limites de leurs propres libertés.
Ce qui me permet d'en revenir à ma propre affaire.
Je sais depuis 1995, voire 1993, que l'on peut récupérer tout de ma vie(un peu à l'image du film de Tony SCOTT, DEJA VU(avec un système qui permet de filmer, et enregistrer tout ce qui se passe et se dit dans une ville entière(voire plus)pendant 4 jours). A la différence près, c'est que je pense, que les données personnelles peuvent certainement être stockées plus longtemps.
Je sais que l'on peut connaître le futur, et mon destin depuis mars 1996. Donc lorsque je me suis sauvagement fait agrésser, le 15 septembre 1996, avenue FOCH, devant la station de RER, à 03h00 du matin. Je savais que les images de cette agression avaient pû être filmées et enregistrées. Et bien-sûr, que l'agression aurait pû et, aurait dû être empêchée. Ce n'a pas été le cas(et l'on se demande encore pourquoi), la plainte s'est perdue, puis classée en vol simple par le parquet, mais à ce jour toujours en traitement par d'autres services.
Or si j'imagine que des gens ont certainement vu les images, ou peuvent encore les voir aujourd'hui, et s'en servir pour diverses raisons(pour le paranormal, par exemple. L'on peut y voir une sorte d'hyppocampe transparent sortir de ma tête et revenir me réveiller). Le fait est, que l'on ne m'a jamais montrer de film. Qui a par ailleurs pû être éffacé également. Si celà avait été le cas. Un cas de conscience se serait posé. Aurais-je pû me servir de ces images, si je les avais eues sous la main ? Alors qu'en parallèle il y a bien-sûr de nombreuses plaintes contre l'atteinte à la vie privée et à ma vie future(entre autres)à cause de ce mode de surveillance et d'espionnage(qui sert des gens sans scrupules, qui me nuisent depuis ma naissance(voire même certainement avant)).
Sans hésitation, je peux affirmer que OUI. Car il n'y a pas de raisons que ces images servent uniquement certaines personnes. J'estime donc, d'être non seulement en droit des les demander, mais aussi de les utiliser. Donc de me servir de ce système, pour faire justice, et dévoiler la vérité. Bien entendu, le fait de savoir et de s'en servir ne peut en aucun cas signifier que j'accepte ou que j'avais accepté d'être filmé(à ce moment là et à d'autres). Ce qui complique bien les choses.
Mais il faudrait au moins avoir l'honnêteté et LE COURAGE de soumettre le problème. Je suis sûr que je ne suis pas la seule victime de ces agresseurs-voleurs. L'on peut en effet, imaginer le pire...
Agressions filmées : la mesure qui fâche
Des associations estiment que le texte permet de poursuivre un citoyen qui diffuserait la vidéo d'une bavure policière.
Mon commentaire :
En toute honnêteté, il est normal de soutenir une personne qui dénonce un crime. En le filmant, ou d'une autre manière. A partir du moment que le film est bien interprété et pas truqué.
Le fait de savoir que celui qui filme est un journaliste, un complice, le commanditaire(ou tout ça à la fois), un bloggeur, un citoyen qui veut dénoncer des crimes, ou un simple témoin, est secondaire.
Le principal, c'est de dénoncer le crime, et qu'il y ait justice.
Bien-sûr, l'on peut penser que des journalistes ou les médias peuvent très bien faire des coups montés et même créent eux-mêmes l'événement pour faire des scoops. Or ce texte, justement, estime qu'ils sont en quelque sorte les seuls à être autorisés à filmer. Ce qui laisse à penser que des groupes peuvent continuer à contrôler l'info(et l'a créée) de cette façon.
Je n'écarte pas l'hypothèse, qu'il y ait des journalistes qui se fassent censurer. Mais cette loi, semble tout de même prouver, qu'ils pourraient être d'une certaine façon complices du système et des limites de leurs propres libertés.
Ce qui me permet d'en revenir à ma propre affaire.
Je sais depuis 1995, voire 1993, que l'on peut récupérer tout de ma vie(un peu à l'image du film de Tony SCOTT, DEJA VU(avec un système qui permet de filmer, et enregistrer tout ce qui se passe et se dit dans une ville entière(voire plus)pendant 4 jours). A la différence près, c'est que je pense, que les données personnelles peuvent certainement être stockées plus longtemps.
Je sais que l'on peut connaître le futur, et mon destin depuis mars 1996. Donc lorsque je me suis sauvagement fait agrésser, le 15 septembre 1996, avenue FOCH, devant la station de RER, à 03h00 du matin. Je savais que les images de cette agression avaient pû être filmées et enregistrées. Et bien-sûr, que l'agression aurait pû et, aurait dû être empêchée. Ce n'a pas été le cas(et l'on se demande encore pourquoi), la plainte s'est perdue, puis classée en vol simple par le parquet, mais à ce jour toujours en traitement par d'autres services.
Or si j'imagine que des gens ont certainement vu les images, ou peuvent encore les voir aujourd'hui, et s'en servir pour diverses raisons(pour le paranormal, par exemple. L'on peut y voir une sorte d'hyppocampe transparent sortir de ma tête et revenir me réveiller). Le fait est, que l'on ne m'a jamais montrer de film. Qui a par ailleurs pû être éffacé également. Si celà avait été le cas. Un cas de conscience se serait posé. Aurais-je pû me servir de ces images, si je les avais eues sous la main ? Alors qu'en parallèle il y a bien-sûr de nombreuses plaintes contre l'atteinte à la vie privée et à ma vie future(entre autres)à cause de ce mode de surveillance et d'espionnage(qui sert des gens sans scrupules, qui me nuisent depuis ma naissance(voire même certainement avant)).
Sans hésitation, je peux affirmer que OUI. Car il n'y a pas de raisons que ces images servent uniquement certaines personnes. J'estime donc, d'être non seulement en droit des les demander, mais aussi de les utiliser. Donc de me servir de ce système, pour faire justice, et dévoiler la vérité. Bien entendu, le fait de savoir et de s'en servir ne peut en aucun cas signifier que j'accepte ou que j'avais accepté d'être filmé(à ce moment là et à d'autres). Ce qui complique bien les choses.
Mais il faudrait au moins avoir l'honnêteté et LE COURAGE de soumettre le problème. Je suis sûr que je ne suis pas la seule victime de ces agresseurs-voleurs. L'on peut en effet, imaginer le pire...
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