TRUANDS***
Si dans un premier temps, l'on peut penser que ce film risque d'inciter certaines personnes à basculer du mauvais côté en étant attirer par la belle vie. Les scènes suivantes d'une extrême violence vont certainement les dégoûter à jamais de ce milieu. A moins d'être un véritable malade mental. Elles sont à mon goût difficiles à supporter et effrayantes, mais d'une certaine façon réalistes et plus vraies, pour notamment montrer le vrai de visage de ce milieu, qui semble toucher à tout. Le film aborde par ailleurs trop superficiellement ces nombreux trafics que l'on suppose.
Si l'on peut imaginer un tas d'ordures plus cruelles les unes que les autres. Il est tout de même difficile à croire qu'ils puissent exister réellement, tels qu'elles sont décrites dans ce film. Pourtant la réalité dépasse souvent notre imagination.
TRUANDS est assez bien fait, malgré quelques jeux d'acteurs un peu trop poussifs. L'on a par exemple du mal à croire (et à comprendre)qu'un chef de la pègre(interprété inégalement et souvent à l'arraché par Philippe CAUBERE)puisse régner sur des bandes et se faire respecter en parlant(par moment) comme un jeune voyou des banlieues. Mais qui sait, Philippe CAUBERE et Frédéric SCHOENDOERFFER sont peut-être dans le vrai. Je ne peux en être sûr, puisqsue je ne fréquente pas ce milieu.
Il est également dommage de ne pas avoir de gentil à soutenir ou à suivre. L'on nous dépeint que des clans plus pourris les uns que les autres, qui peuvent nous paraître sympathiques une fraction de seconde à tour de rôle. D'où le vice de ce film et de ce milieu, qui semble alimenter le mal par nos émotions et notre ignorance.
Des scènes brutales, animales, pornos, faciles et classiques(et presque indispensabls) arrivent efficacement à se mélanger avec de beaux-moments. Et notamment cette scène où l'on voit un homme trahir son employeur en lui enlevant les munitions de son arme.
TRUANDS est un film moderne et violent. Avec un bon scénario et quelques originalités fort intéressantes.
Reste que l'on est en droit de se demander, s'il est normal, qu'on aille chercher un ami, à sa sortie de prison, en ferrari(ou à avec un cheval de course, cf : LES RIPOUX de Claude ZIDI)sans être inquiétés, sans être suivis ou sans se trahir.
N'importe qui peut deviner, qu'il s'agit en toute probabilité d'un complice.
Ou bien encore, s'il est normal de donner des permissions à des gangsters de la pire espèce, certes tombés pour faux-papiers ou fraudes fiscales.
Récemment, j'ai même appris qu'on avait donné des permissions pour les fêtes à des meurtriers condamnés.
La justice française a vraiment un problème.
Si l'on peut imaginer un tas d'ordures plus cruelles les unes que les autres. Il est tout de même difficile à croire qu'ils puissent exister réellement, tels qu'elles sont décrites dans ce film. Pourtant la réalité dépasse souvent notre imagination.
TRUANDS est assez bien fait, malgré quelques jeux d'acteurs un peu trop poussifs. L'on a par exemple du mal à croire (et à comprendre)qu'un chef de la pègre(interprété inégalement et souvent à l'arraché par Philippe CAUBERE)puisse régner sur des bandes et se faire respecter en parlant(par moment) comme un jeune voyou des banlieues. Mais qui sait, Philippe CAUBERE et Frédéric SCHOENDOERFFER sont peut-être dans le vrai. Je ne peux en être sûr, puisqsue je ne fréquente pas ce milieu.
Il est également dommage de ne pas avoir de gentil à soutenir ou à suivre. L'on nous dépeint que des clans plus pourris les uns que les autres, qui peuvent nous paraître sympathiques une fraction de seconde à tour de rôle. D'où le vice de ce film et de ce milieu, qui semble alimenter le mal par nos émotions et notre ignorance.
Des scènes brutales, animales, pornos, faciles et classiques(et presque indispensabls) arrivent efficacement à se mélanger avec de beaux-moments. Et notamment cette scène où l'on voit un homme trahir son employeur en lui enlevant les munitions de son arme.
TRUANDS est un film moderne et violent. Avec un bon scénario et quelques originalités fort intéressantes.
Reste que l'on est en droit de se demander, s'il est normal, qu'on aille chercher un ami, à sa sortie de prison, en ferrari(ou à avec un cheval de course, cf : LES RIPOUX de Claude ZIDI)sans être inquiétés, sans être suivis ou sans se trahir.
N'importe qui peut deviner, qu'il s'agit en toute probabilité d'un complice.
Ou bien encore, s'il est normal de donner des permissions à des gangsters de la pire espèce, certes tombés pour faux-papiers ou fraudes fiscales.
Récemment, j'ai même appris qu'on avait donné des permissions pour les fêtes à des meurtriers condamnés.
La justice française a vraiment un problème.
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